Le Diable s'habille en Prada
De Lauren Weisberger
Résumé :
Andrea, 23 ans, jeune diplômée, fraîchement débarquée de province, est engagée comme assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runway, un grand magazine de mode new-yorkais. Un job prestigieux que tout le monde lui envie... sauf que cela se transforme vite en cauchemar. Elle se retrouve propulsée du jour au lendemain dans un univers hostile. Sa patronne, Miranda Priestly, est odieuse, tyrannique et narcissique, et la traite comme bonne à tout faire. Andrea se retrouve chargée des 'missions' les plus improbables... Une drôle de secte dont les dieux ont pour noms Prada, Armani ou Versace
Mon avis :
Un livre plus ou moins léger et superficiel ne me dérange pas, de temps en temps. Mais j'avoue que celui-ci je n'ai vraiment pas du tout accroché. Il n'y a pas réellement d'histoire, tout au long du roman, Andrea subit les envies farfelues de sa patronne, sa vie sociale dégringole et evidement on se doute tous de la fin...
Malgré quelques passages plus ou moins amusant j'ai trouvé ce roman plutôt plat.
Andrea, 23 ans, jeune diplômée, fraîchement débarquée de province, est engagée comme assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runway, un grand magazine de mode new-yorkais. Un job prestigieux que tout le monde lui envie... sauf que cela se transforme vite en cauchemar. Elle se retrouve propulsée du jour au lendemain dans un univers hostile. Sa patronne, Miranda Priestly, est odieuse, tyrannique et narcissique, et la traite comme bonne à tout faire. Andrea se retrouve chargée des 'missions' les plus improbables... Une drôle de secte dont les dieux ont pour noms Prada, Armani ou Versace
Mon avis :
Un livre plus ou moins léger et superficiel ne me dérange pas, de temps en temps. Mais j'avoue que celui-ci je n'ai vraiment pas du tout accroché. Il n'y a pas réellement d'histoire, tout au long du roman, Andrea subit les envies farfelues de sa patronne, sa vie sociale dégringole et evidement on se doute tous de la fin...
Malgré quelques passages plus ou moins amusant j'ai trouvé ce roman plutôt plat.
« J'avais beau me trouver dans la même salle qu'elle, elle m'a commandé par téléphone de la San Pellegrino. ».